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Alors qu'il s'avançait vers le train, valise en main, l'homme murmura :
« Mon cœur
Egaré dans le labyrinthe de mon esprit
Frappant aux portes closes de ma pensée
A la recherche d'un amour enfouit
Fut vidé de sa force mais ne fut pas vaincu !
Finalement, c'est bien à mon cœur que je dois la victoire
Moi, qui suis enivré du doux vin de l'amour
M'abandonne à la femme de ma vie, à ELLE».
« En tombant sur la fleur la feuille fusionna avec elle
Sur cette fleur enracinée au sol
Ils devinrent un seul et même corps ». |